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La police d’Edmonton vient de déployer des caméras corporelles avec une particularité controversée : la reconnaissance faciale alimentée par l’IA, entraînée sur environ 7 000 personnes jugées « à haut risque ». Cet essai en conditions réelles marque une avancée audacieuse dans un domaine que de nombreuses juridictions ont abandonné, invoquant des cauchemars en matière de vie privée et des inquiétudes sur la fiabilité.
La technologie analyse les visages en temps réel, les comparant à la liste de surveillance. Les partisans affirment qu’elle améliore la sécurité des agents et accélère l’identifi
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