Quelqu'un a posé à Mark Cuban une question difficile concernant l'obligation vaccinale : si des employés, contraints de se faire vacciner contre le COVID, subissaient de graves effets secondaires, serait-il prêt à les indemniser ?

La réponse de Cuban ? Pas vraiment rassurante. Il a éludé toute responsabilité directe, suggérant aux personnes concernées de « s'adresser à leur assurance » à la place. L'investisseur milliardaire s'est abstenu de toute promesse d'indemnisation personnelle ou d'entreprise.

Cette réponse met en lumière une tension plus large autour des politiques d'obligation en entreprise. Lorsque les sociétés imposent des exigences médicales, qui assume le risque si les choses tournent mal ? La position de Cuban fait reposer ce fardeau sur les systèmes d'assurance et les individus, plutôt que sur l'entité qui impose la mesure.

Cet échange montre que même les grandes figures du monde des affaires ont du mal à répondre aux questions de responsabilité lorsque la politique rencontre les conséquences personnelles. Imposer une obligation est une chose ; en assumer les retombées en est une autre.