Récemment, il y a eu un « scoop » assez intéressant. La société Moore Threads, surnommée le « Nvidia chinois », est entrée en bourse et sa capitalisation a directement grimpé à plus de 300 milliards. C'était censé être un grand événement pour le secteur technologique, mais quelqu'un a déterré le passé douteux du doyen de leur Moore Academy, Li Feng.
Lors de la vague d'émission de tokens en 2017, Li Feng avait en fait lancé des projets avec des grands noms comme Li Xiaolai et Xue Manzi. Plus surprenant encore, en 2018, le fondateur d'une grande plateforme d'échange, Star, l'a directement accusé sur WeChat de lui devoir 1 500 yuans sans jamais rembourser. L'affaire avait déjà fait du bruit à l'époque, et maintenant elle refait surface.
Le monde des cryptos est vraiment un petit cercle : on retrouve toujours les mêmes personnes et les mêmes histoires. Qu'une équipe de fabricants de puces et de spéculateurs en cryptomonnaies soit en fait composée des mêmes individus, voilà un croisement de secteurs inattendu.
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CryptoWageSlave
· Il y a 23h
Ha, devoir 1 500 yuans, même ça c’est possible, ce gars est vraiment incroyable dans ses manips.
Comment Moore Threads a-t-il pu se tirer une balle dans le pied avec son introduction en bourse, sérieusement.
Les gens du monde des cryptos, ils auraient dû effacer leur historique de navigation depuis longtemps.
Un projet de puce qui s’entremêle avec les vieilles histoires du monde crypto, cette combinaison est quand même un peu délirante.
Revenir sur des affaires de 2017 aujourd’hui, ça c’est ce qu’on appelle une reconstitution parfaite, les amis.
Li Feng est un peu en galère cette fois, même plus de 300 milliards de capitalisation n’ont pas suffi à le sauver.
Honnêtement, je me demande juste combien de casseroles il reste encore à découvrir sur d’autres.
Mais cette histoire de 1 500 yuans, ça va encore tourner pendant dix ans ? La mémoire du monde crypto est vraiment tenace.
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LiquidityNinja
· Il y a 23h
On peut même ne pas rembourser 1500 yuan ? Ce gars-là, c’est vraiment un génie, il passe du monde des cryptos à celui des semi-conducteurs et change d’identité comme il veut, incroyable.
En 2017, il lançait des tokens avec Li Xiaolai, maintenant il peut devenir doyen et pousser vers l’introduction en bourse, rien que rédiger ce CV, ça doit être compliqué.
Voilà pourquoi tous ceux du monde des cryptos finissent par se lancer dans le hardware : ils ont été éliminés par le milieu des cryptos lui-même.
Ressortir l’histoire de Li Feng qui ne rembourse pas ses dettes, ça n’a plus trop d’impact maintenant, il a déjà réussi son introduction en bourse.
Je ne comprends vraiment pas ce que pensent les investisseurs de Moore Threads, ils osent accepter un tel parcours ?
Les gens qui font des puces et ceux qui spéculent sur les cryptos se retrouvent dans le même cercle, ce milieu est vraiment minuscule.
Racontée comme ça, on dirait que tous ceux du monde des cryptos ont changé de carrière en découvrant qu’on pouvait s’introduire en bourse dans le hardware.
Mais tout de même, réussir à ne pas rembourser une dette de 1500 yuan aussi longtemps, c’est une sacrée performance.
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LadderToolGuy
· 12-07 07:27
Haha, c’est quoi ce crossover incroyable, même le directeur de l’institut des puces doit encore rembourser des dettes ?
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Les petits scandales de la crypto, ça ressort encore et encore, tout finit toujours par être lié à Li Feng.
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Ils se souviennent même de 1 500 yuans après tout ce temps ? C’est vraiment un petit cercle.
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C’est drôle, le buzz autour de Moore Threads est tellement fort qu’ils se font déterrer des vieux dossiers, ça en vaut la peine ?
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Li Xiaolai, Xue Manzi, Li Feng, cette combinaison est vraiment incroyable.
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Attends, un drama de 2017 ressort seulement maintenant ? Les archives de la crypto sont vraiment complètes.
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Une capitalisation de 300 milliards plombée par une histoire de 1 500 yuans.
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Le rêve de la puce s’est brisé encore plus vite que dans la crypto, c’est tout ?
Récemment, il y a eu un « scoop » assez intéressant. La société Moore Threads, surnommée le « Nvidia chinois », est entrée en bourse et sa capitalisation a directement grimpé à plus de 300 milliards. C'était censé être un grand événement pour le secteur technologique, mais quelqu'un a déterré le passé douteux du doyen de leur Moore Academy, Li Feng.
Lors de la vague d'émission de tokens en 2017, Li Feng avait en fait lancé des projets avec des grands noms comme Li Xiaolai et Xue Manzi. Plus surprenant encore, en 2018, le fondateur d'une grande plateforme d'échange, Star, l'a directement accusé sur WeChat de lui devoir 1 500 yuans sans jamais rembourser. L'affaire avait déjà fait du bruit à l'époque, et maintenant elle refait surface.
Le monde des cryptos est vraiment un petit cercle : on retrouve toujours les mêmes personnes et les mêmes histoires. Qu'une équipe de fabricants de puces et de spéculateurs en cryptomonnaies soit en fait composée des mêmes individus, voilà un croisement de secteurs inattendu.