Le magnat de la tech a récemment réaffirmé sa position concernant la plateforme anciennement connue sous le nom de Twitter. Il a été parfaitement clair : la préservation de la liberté d’expression était la principale motivation de l’acquisition, et non la maximisation des profits. « Mon engagement envers le Premier Amendement reste inébranlable », a-t-il déclaré, ajoutant que le sacrifice financier est un prix qui vaut la peine d’être payé pour ce principe. C’est une déclaration audacieuse à une époque où la monétisation l’emporte souvent sur l’idéologie. Cette philosophie va-t-elle transformer durablement les plateformes sociales ? C’est la question à un milliard de dollars que tout le monde se pose.