J'ai récemment remarqué un phénomène intéressant : le fondateur d'une certaine plateforme d'échange publie désormais presque tous ses tweets en anglais, ce qui internationalise de plus en plus son image de marque. Derrière cela, il pourrait y avoir plus qu'une simple question d'habitude linguistique. Réfléchissons-y : l'influence sur le marché mondial des cryptos évolue constamment, et celui qui parvient à s'imposer dans la sphère anglophone prend l'avantage. Dans cette tendance actuelle, il n'est pas impossible que la hiérarchie des leaders du secteur soit complètement bouleversée. Après tout, dans le domaine du Web3, la narration internationale et le consensus communautaire sont souvent plus importants que le produit lui-même.
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GweiTooHigh
· Il y a 3h
Putain, encore ce discours-là... Mais c'est vrai que le pouvoir dans le cercle anglophone vaut de l'or.
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consensus_whisperer
· 12-07 00:11
Frérot, cette observation est vraiment brillante, les tweets en anglais font effectivement partie d’un plan stratégique bien plus vaste.
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FlashLoanLord
· 12-05 11:01
Pour dire les choses simplement, savoir raconter une histoire rapporte bien plus que de créer un produit, voilà la véritable réalité du monde des cryptomonnaies.
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MonkeySeeMonkeyDo
· 12-05 11:01
Pour faire simple, c’est un jeu d’influence : celui qui maîtrise la communauté anglophone détient déjà la moitié du pouvoir.
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FlashLoanLarry
· 12-05 11:00
Non, le vrai coût d'opportunité ici, c'est de voir des fondateurs optimiser pour le récit plutôt que pour l'efficacité réelle du protocole... Les points de base de profondeur de liquidité comptent bien plus que la linguistique sur Twitter, pour être honnête.
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CascadingDipBuyer
· 12-05 10:54
C'est le jeu du soft power : celui qui contrôle le récit l'emporte, le produit devient secondaire.
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TokenStorm
· 12-05 10:38
Twitter en anglais sert effectivement de caution internationale, mais pour être honnête, seules les données on-chain disent la vérité : il faut regarder les flux de capitaux et l’activité du portefeuille. De simples déclarations ne changent en rien le niveau de risque.
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DaoResearcher
· 12-05 10:36
Oui, du point de vue du pouvoir de gouvernance, c'est effectivement un signal qui mérite attention. Le contrôle du récit en anglais = la lutte pour le consensus entre détenteurs de jetons, cette logique est cohérente.
J'ai récemment remarqué un phénomène intéressant : le fondateur d'une certaine plateforme d'échange publie désormais presque tous ses tweets en anglais, ce qui internationalise de plus en plus son image de marque. Derrière cela, il pourrait y avoir plus qu'une simple question d'habitude linguistique. Réfléchissons-y : l'influence sur le marché mondial des cryptos évolue constamment, et celui qui parvient à s'imposer dans la sphère anglophone prend l'avantage. Dans cette tendance actuelle, il n'est pas impossible que la hiérarchie des leaders du secteur soit complètement bouleversée. Après tout, dans le domaine du Web3, la narration internationale et le consensus communautaire sont souvent plus importants que le produit lui-même.