Quel est le jeu préféré des gros capitaux ? La réponse pourrait te surprendre : plus une configuration de marché semble vouée à l’échec, plus il est probable que ce soit le moment où ils accumulent discrètement des positions ; à l’inverse, les marchés qui paraissent irrésistiblement forts sont souvent ceux où ils distribuent déjà leurs jetons à des niveaux élevés.
As-tu déjà rencontré ce genre de situation : en intraday, le cours se traîne faiblement, les moyennes mobiles forment un mur infranchissable, après avoir difficilement touché la ligne zéro, il repart aussitôt à la baisse, ou bien à l’ouverture, une montée rapide qui excite tout le monde pendant deux minutes avant une chute brutale, voire même une hausse jusqu’à la limite qui s’effondre dans la foulée. Ce genre de mouvement est le plus frustrant : à force de regarder, on finit par craquer et vendre à perte.
Mais c’est peut-être justement un piège.
De quoi ont besoin les gros capitaux pour faire monter un actif ? D’une structure de jetons propre et d’un coût de détention suffisamment bas. Si tous les petits porteurs conservent leurs positions sans broncher, comment pourraient-ils accumuler à bas prix ? Il faut donc créer la panique : utiliser des graphiques intraday affreux pour te faire fuir, user de faux départs répétés pour épuiser ta patience, provoquer des cassures techniques pour te faire douter.
Quand la plupart n'en peuvent plus et quittent le marché, la structure de détention s’allège et la hausse devient facile à déclencher. Pour la distribution, c’est pareil : quand il s’agit vraiment de sortir, l’aspect du marché reste souvent très séduisant, te laissant croire que “c’est du solide”, et c’est à ce moment-là qu’ils se retirent discrètement pendant que tu achètes au plus haut.
Retiens donc cette logique contre-intuitive : une faiblesse apparemment justifiée n’est pas forcément un signal de sortie, mais peut au contraire représenter une opportunité d’entrée. Bien sûr, cela suppose que cette “faiblesse” repose sur une vraie logique, et non sur un problème fondamental réel.
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CodeZeroBasis
· Il y a 4h
Incroyable, c’est exactement la raison pour laquelle je me retrouve toujours piégé après avoir acheté au plus haut haha
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wrekt_but_learning
· Il y a 14h
J'ai subi d'innombrables pertes, maintenant il faut faire l'inverse : c'est en tenant bon lors des phases de faiblesse qu'on peut gagner de l'argent.
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SnapshotBot
· 12-05 04:50
Encore ce discours : ça sonne bien, mais quand il s'agit de passer à l'action, on hésite toujours, et au final, ce sont toujours nous autres petits porteurs qui finissons par couper nos pertes.
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SybilAttackVictim
· 12-05 04:47
Eh bien, encore cette histoire, je l'ai vue trop de fois. Le moment où l'on vend à perte, c'est le moment où d'autres achètent au plus bas, hein.
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LiquidationAlert
· 12-05 04:46
Toujours les mêmes discours, j'entends les baissiers raconter des histoires tous les jours.
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DevChive
· 12-05 04:39
Encore cette théorie de l’opération à rebours ? La dernière fois, j’ai pensé pareil, j’ai vendu à perte et l’action a tout de suite atteint la limite de baisse. J’en regrette encore maintenant, haha.
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DisillusiionOracle
· 12-05 04:35
Tu essaies encore de me convaincre d’acheter au plus bas, c’est ça ? La dernière fois que j’ai écouté ce discours, j’ai encaissé deux baisses consécutives.
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liquiditea_sipper
· 12-05 04:28
Putain, encore ce même discours, il y a toujours mille excuses pour les manipulations des gros capitaux.
Cette fois, c’est vraiment différent, je parie cinq euros que cette chute est la vraie.
Vendre à perte, vendre à perte, de toute façon j’ai tellement perdu que je suis anesthésié.
Tu peux bien enrober ça comme tu veux, ça ne change rien à mon compte complètement dans le rouge.
Piège, piège, chaque jour un piège, pourquoi je n’ai jamais réussi à éviter ça ?
Essayer d’agir à l’envers, ça ne fait que me faire perdre encore plus vite.
Quel est le jeu préféré des gros capitaux ? La réponse pourrait te surprendre : plus une configuration de marché semble vouée à l’échec, plus il est probable que ce soit le moment où ils accumulent discrètement des positions ; à l’inverse, les marchés qui paraissent irrésistiblement forts sont souvent ceux où ils distribuent déjà leurs jetons à des niveaux élevés.
As-tu déjà rencontré ce genre de situation : en intraday, le cours se traîne faiblement, les moyennes mobiles forment un mur infranchissable, après avoir difficilement touché la ligne zéro, il repart aussitôt à la baisse, ou bien à l’ouverture, une montée rapide qui excite tout le monde pendant deux minutes avant une chute brutale, voire même une hausse jusqu’à la limite qui s’effondre dans la foulée. Ce genre de mouvement est le plus frustrant : à force de regarder, on finit par craquer et vendre à perte.
Mais c’est peut-être justement un piège.
De quoi ont besoin les gros capitaux pour faire monter un actif ? D’une structure de jetons propre et d’un coût de détention suffisamment bas. Si tous les petits porteurs conservent leurs positions sans broncher, comment pourraient-ils accumuler à bas prix ? Il faut donc créer la panique : utiliser des graphiques intraday affreux pour te faire fuir, user de faux départs répétés pour épuiser ta patience, provoquer des cassures techniques pour te faire douter.
Quand la plupart n'en peuvent plus et quittent le marché, la structure de détention s’allège et la hausse devient facile à déclencher. Pour la distribution, c’est pareil : quand il s’agit vraiment de sortir, l’aspect du marché reste souvent très séduisant, te laissant croire que “c’est du solide”, et c’est à ce moment-là qu’ils se retirent discrètement pendant que tu achètes au plus haut.
Retiens donc cette logique contre-intuitive : une faiblesse apparemment justifiée n’est pas forcément un signal de sortie, mais peut au contraire représenter une opportunité d’entrée. Bien sûr, cela suppose que cette “faiblesse” repose sur une vraie logique, et non sur un problème fondamental réel.