
La tentative d’assassinat contre l’ancien président Donald Trump lors d’un rassemblement à Butler, en Pennsylvanie, en juillet 2024, a révélé des vulnérabilités majeures dans l’infrastructure de sécurité du Secret Service. Une commission sénatoriale bipartite a conclu que les agents du Secret Service n’avaient pas exercé un contrôle décisif sur la préparation de la sécurité de l’événement, entraînant d’importants manquements dans la planification et la communication.
L’enquête a mis en évidence un dysfonctionnement institutionnel préoccupant. Les pratiques « cloisonnées » du Secret Service en matière de partage d’informations ont empêché que des renseignements critiques sur les menaces parviennent aux décideurs opérationnels concernés. Avant le rassemblement, des informations crédibles — notamment des signalements de menaces iraniennes potentielles contre la vie de Trump — auraient dû déclencher automatiquement un renforcement des mesures de sécurité pour les grands événements en extérieur. Des responsables actuels et anciens du Secret Service ont confirmé qu’une telle menace crédible justifiait à elle seule l’adoption de protocoles de protection renforcés.
Le rapport sénatorial qualifie cette succession d’échecs de « cascade », soulignant que plusieurs défaillances se sont accumulées. Des lacunes dans l’évaluation des menaces et la coordination opérationnelle ont généré des failles dangereuses dans la protection. Cet incident a conduit le FBI à qualifier la fusillade de potentiel acte de terrorisme intérieur, l’enquête se poursuivant.
À la suite de ces révélations, Sean Curran, nommé directeur du Secret Service, a reconnu la gravité de l’événement du 13 juillet et a engagé l’agence à mener des réformes en profondeur. Le groupe de travail de la Chambre des représentants, chargé d’examiner les tentatives d’assassinat, a ensuite recommandé des réformes structurelles afin d’éviter toute nouvelle faille, considérant que la protection des anciens présidents exige des protocoles fondamentalement différents de ceux des dispositifs de sécurité traditionnels.
Une enquête sénatoriale approfondie a mis en lumière d’importantes vulnérabilités dans les dispositifs de protection mis en place lors du rassemblement de l’ancien président Donald Trump, le 13 juillet 2024, à Butler, Pennsylvanie. Le groupe de travail bipartite a recensé 25 failles spécifiques ayant directement permis la tentative d’assassinat perpétrée par Matthew Crooks depuis un toit voisin.
L’enquête a révélé des défaillances systémiques à plusieurs niveaux opérationnels. Les responsables du Secret Service n’ont pas exercé l’autorité de commandement nécessaire sur les décisions relatives à la sécurité, créant des lacunes de coordination entre agences fédérales et forces de l’ordre locales. Les canaux de communication se sont avérés insuffisants, des informations critiques sur des menaces n’ayant pas été transmises ou exploitées comme il se doit, malgré des alertes antérieures sur des risques crédibles.
| Catégorie | Constat |
|---|---|
| Défaillances de leadership | Les agents n’ont pas assumé la prise de décision en matière de sécurité |
| Lacunes de communication | Les informations critiques sur les menaces n’ont pas été suffisamment relayées |
| Problèmes de préparation | Réponse insuffisante à des menaces crédibles identifiées |
| Lacunes dans la formation | Le personnel n’était pas préparé à la sécurité d’événements en extérieur |
Au-delà de ces 25 constats, le groupe de travail a formulé 11 recommandations générales visant à améliorer la formation du management et l’allocation des ressources de l’agence. Les responsables ont reconnu que l’identification de menaces crédibles aurait dû entraîner systématiquement la mise en place de protocoles de sécurité renforcés pour les grands rassemblements extérieurs. Le rapport souligne que ces défaillances étaient « prévisibles, évitables et directement liées » à l’incident, établissant une responsabilité claire tout en précisant les réformes structurelles nécessaires pour éviter de futures vulnérabilités.
En mars 2025, une faille de sécurité significative a eu lieu lorsque des hauts responsables de l’administration Trump ont accidentellement partagé des informations militaires classifiées via Signal, une application de messagerie chiffrée. Le conseiller à la Sécurité nationale Michael Waltz a créé une discussion de groupe réunissant le vice-président JD Vance, le secrétaire d’État Marco Rubio, le secrétaire à la Défense Pete Hegseth, le directeur de la CIA John Ratcliffe et la directrice du renseignement national Tulsi Gabbard, entre autres.
La fuite concernait des détails opérationnels sensibles relatifs à des frappes militaires américaines contre les rebelles Houthis au Yémen. Un journaliste a été ajouté par erreur au groupe Signal nommé « Houthi PC small group », exposant des informations hautement classifiées avant le lancement de l’opération. Selon des responsables de la Défense, les documents partagés comportaient des données de sécurité opérationnelle à un niveau de classification maximal, pouvant mettre en danger le personnel militaire impliqué.
Des experts en sécurité ont qualifié l’incident d’exceptionnel et d’inquiétant. Kevin Carroll, ancien de l’Armée et de la CIA pendant 30 ans, a souligné qu’un déversement d’informations d’une telle ampleur conduit généralement à un licenciement immédiat et à des poursuites pénales. Le Pentagone avait mis en garde ses collaborateurs contre l’utilisation de Signal quelques jours avant la fuite, soulevant des inquiétudes supplémentaires quant au respect des protocoles à un niveau élevé de responsabilité.
Alors que l’administration Trump assurait initialement qu’aucune information classifiée n’avait été partagée, des enquêtes ultérieures de The Atlantic et d’autres sources gouvernementales ont démontré que des informations hautement sensibles et critiques sur le plan opérationnel avaient effectivement été échangées via la messagerie non sécurisée avant le début des opérations militaires.
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