Un haut responsable politique vient de faire une déclaration choc qui fait vibrer le monde financier. Selon des propos récents, les législateurs devraient conserver le droit de posséder et de négocier des actions—oui, même lorsqu’ils rédigent les règles qui régissent les marchés.
Cette position relance un débat de longue date qui couve depuis des années. Les détracteurs soutiennent que permettre aux élus de détenir des actions individuelles crée des conflits d’intérêts évidents, d’autant plus qu’ils ont accès à des informations non publiques susceptibles d’influencer les marchés. Mais les partisans rétorquent qu’une interdiction généralisée pourrait décourager les candidats qualifiés de se lancer dans le service public.
Pour l’écosystème crypto, l’enjeu est plus important qu’il n’y paraît. La clarté réglementaire dépend souvent des convictions personnelles de ceux qui rédigent les lois. Lorsque les décideurs ont des intérêts financiers en jeu—que ce soit dans les actions traditionnelles ou les actifs numériques—cela influence la façon dont ils arbitrent entre renforcement de la supervision et promotion de cadres favorables à l’innovation.
Le timing est aussi intéressant. Alors que l’argent institutionnel afflue dans les ETF Bitcoin et l’infrastructure blockchain, l’intersection entre les portefeuilles des élus et les décisions réglementaires n’a jamais été aussi pertinente. Certains défenseurs de la transparence réclament des exigences de divulgation plus strictes comme solution intermédiaire, plutôt qu’une interdiction pure et simple.
En résumé ? Les règles qui encadrent ceux qui font les règles restent plus contestées que jamais—et cette incertitude se répercute dans tous les recoins de la finance, y compris sur le Web3.
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MidnightTrader
· 12-05 19:27
Mort de rire, les députés sont à la fois arbitres et parient, ce n’est rien d’autre qu’une version légale du délit d’initié.
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RugPullAlertBot
· 12-05 18:03
Ça veut juste dire que les députés cherchent à s’ouvrir une porte dérobée, tout en prenant la "fuite des talents" comme prétexte… Mort de rire.
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TokenomicsTrapper
· 12-04 22:06
lol « candidats qualifiés » ça veut dire des gens qui veulent des passes gratuits pour délit d’initié. Faut lire entre les lignes, sérieux.
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Ser_This_Is_A_Casino
· 12-04 22:05
Mort de rire, les députés spéculent eux-mêmes en bourse tout en rédigeant les règles ? C’est littéralement une licence gratuite pour le délit d’initié.
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CryptoTarotReader
· 12-04 21:59
Mort de rire, les députés achètent eux-mêmes des actions et fixent eux-mêmes les règles, ce n’est pas de l’autorégulation ça ? Le conflit d’intérêts est écrit en toutes lettres.
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MetaMisery
· 12-04 21:57
Les parlementaires qui font du trading d’actions... N’est-ce pas là un transfert d’intérêts flagrant ?
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MevHunter
· 12-04 21:56
C'est encore la même vieille histoire : les parlementaires spéculent en bourse puis rédigent des lois pour eux-mêmes. C'est le cas typique où la main gauche régule pendant que la main droite fait des transactions. Dans le domaine du Web3, c'est encore plus scandaleux.
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BrokenDAO
· 12-04 21:44
Encore cette utopie selon laquelle la « transparence et la divulgation » pourraient tout résoudre... Le coût de la confiance, ça ne se calcule même pas. Il vaudrait mieux l’admettre franchement : tant qu’il existe un déséquilibre de pouvoir et d’information, les incitations seront inévitablement biaisées. C’est ce que l’Histoire nous a toujours appris.
Un haut responsable politique vient de faire une déclaration choc qui fait vibrer le monde financier. Selon des propos récents, les législateurs devraient conserver le droit de posséder et de négocier des actions—oui, même lorsqu’ils rédigent les règles qui régissent les marchés.
Cette position relance un débat de longue date qui couve depuis des années. Les détracteurs soutiennent que permettre aux élus de détenir des actions individuelles crée des conflits d’intérêts évidents, d’autant plus qu’ils ont accès à des informations non publiques susceptibles d’influencer les marchés. Mais les partisans rétorquent qu’une interdiction généralisée pourrait décourager les candidats qualifiés de se lancer dans le service public.
Pour l’écosystème crypto, l’enjeu est plus important qu’il n’y paraît. La clarté réglementaire dépend souvent des convictions personnelles de ceux qui rédigent les lois. Lorsque les décideurs ont des intérêts financiers en jeu—que ce soit dans les actions traditionnelles ou les actifs numériques—cela influence la façon dont ils arbitrent entre renforcement de la supervision et promotion de cadres favorables à l’innovation.
Le timing est aussi intéressant. Alors que l’argent institutionnel afflue dans les ETF Bitcoin et l’infrastructure blockchain, l’intersection entre les portefeuilles des élus et les décisions réglementaires n’a jamais été aussi pertinente. Certains défenseurs de la transparence réclament des exigences de divulgation plus strictes comme solution intermédiaire, plutôt qu’une interdiction pure et simple.
En résumé ? Les règles qui encadrent ceux qui font les règles restent plus contestées que jamais—et cette incertitude se répercute dans tous les recoins de la finance, y compris sur le Web3.