La dernière œuvre de Tyler Hobbs, « From Noise », vient d’être présentée à Art Basel. La pièce explore une question fascinante : le geste humain peut-il survivre lorsqu’il est traduit en code ? Il transpose en quelque sorte les instincts du peintre, les soumet à des milliers d’itérations algorithmiques, et cherche à voir si la spontanéité peut exister au sein de cadres computationnels rigides. C’est cette tension entre l’expression organique et la logique systématique qui rend l’art génératif si captivant.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
8 J'aime
Récompense
8
3
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
MentalWealthHarvester
· 12-08 02:52
À vrai dire, passer du bruit à l’art, n’est-ce pas là la question ultime de l’art Web3 ? L’âme humaine peut-elle encore être codée ?
Voir l'originalRépondre0
BearMarketBro
· 12-08 02:41
Du bruit au code, l’intuition est-elle toujours vivante ? Voilà à quoi devrait ressembler l’art web3.
Voir l'originalRépondre0
PretendingToReadDocs
· 12-08 02:34
Un algorithme peut-il reproduire l'intuition ? C'est une vraie question... Mais la méthode de Tyler Hobbs est vraiment géniale.
La dernière œuvre de Tyler Hobbs, « From Noise », vient d’être présentée à Art Basel. La pièce explore une question fascinante : le geste humain peut-il survivre lorsqu’il est traduit en code ? Il transpose en quelque sorte les instincts du peintre, les soumet à des milliers d’itérations algorithmiques, et cherche à voir si la spontanéité peut exister au sein de cadres computationnels rigides. C’est cette tension entre l’expression organique et la logique systématique qui rend l’art génératif si captivant.