#美联储重启降息步伐 Une affaire qui semble presque incroyable fait grand bruit dans la sphère crypto : Andy Beal, le financier derrière un ancien président américain, a débarqué sur le marché des prêts d’actifs numériques avec sa banque Monet, qui ne pèse pourtant qu’environ 6 milliards de dollars d’actifs.
Pour être honnête, voir une petite banque communautaire oser proclamer vouloir devenir « la banque d’infrastructure du secteur crypto » a de quoi surprendre. Après tout, dans l’esprit de la plupart des gens, les banques traditionnelles restent très prudentes, voire réticentes, envers les cryptomonnaies, alors prendre l’initiative d’entrer sur ce terrain...
Mais si l’on change de perspective, il y a aussi des signaux plutôt positifs.
D’abord, il faut reconnaître que le fait qu’une institution financière traditionnelle accepte de se mouiller montre au moins que le mur entre le monde crypto et la finance mainstream commence à s’effriter. Pour l’investisseur lambda ? Cela signifie une voie supplémentaire et réglementée pour emprunter, donc plus de flexibilité pour gérer ses fonds — ce n’est jamais une mauvaise chose.
Mais, en y regardant de plus près, il faut rester prudent.
Leur mécanisme de gestion des risques est-il fiable ? Le modèle économique tiendra-t-il la route ? Difficile à dire, seule l’épreuve du temps peut répondre. Pour nous, investisseurs, la posture la plus sûre reste la suivante : surveiller l’actualité sans se précipiter. On peut suivre le déploiement de leurs produits et les retours des utilisateurs ; une fois les règles du jeu comprises, rien n’empêche de tester à petite échelle, mais il ne faut surtout pas se laisser aveugler par les étiquettes « soutenu par un grand nom » ou « licence bancaire » pour miser gros.
Le marché crypto n’a jamais manqué de cygnes noirs ; garder la tête froide est la seule règle d’or pour survivre.
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pvt_key_collector
· 12-06 05:40
Encore ce même manège : un gros bonnet avec un bon background et une licence bancaire croit pouvoir tondre les petits investisseurs ? Je vais encore attendre pour voir.
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AllInAlice
· 12-06 05:38
Oser s'appeler une infrastructure avec seulement 6 milliards de dollars ? C'est hilarant, il faut vraiment avoir du cran.
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APY追逐者
· 12-06 05:35
Ça fait beaucoup de bruit, ces petites banques rêvent de devenir des infrastructures... Mais est-ce vraiment fiable cette fois-ci ? J’ai toujours l’impression qu’il y a un côté pari là-dedans.
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WhaleMistaker
· 12-06 05:33
Gros bonnet + licence bancaire = gains assurés ? Réveillez-vous, ce n’est qu’une arnaque, attendez-vous à un crash.
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LiquidationHunter
· 12-06 05:12
Une petite banque de 6 milliards de dollars ose se vanter de financer des infrastructures, il faut vraiment avoir du cran, mais en ce qui concerne la gestion des risques, je n’ai vraiment pas confiance.
#美联储重启降息步伐 Une affaire qui semble presque incroyable fait grand bruit dans la sphère crypto : Andy Beal, le financier derrière un ancien président américain, a débarqué sur le marché des prêts d’actifs numériques avec sa banque Monet, qui ne pèse pourtant qu’environ 6 milliards de dollars d’actifs.
Pour être honnête, voir une petite banque communautaire oser proclamer vouloir devenir « la banque d’infrastructure du secteur crypto » a de quoi surprendre. Après tout, dans l’esprit de la plupart des gens, les banques traditionnelles restent très prudentes, voire réticentes, envers les cryptomonnaies, alors prendre l’initiative d’entrer sur ce terrain...
Mais si l’on change de perspective, il y a aussi des signaux plutôt positifs.
D’abord, il faut reconnaître que le fait qu’une institution financière traditionnelle accepte de se mouiller montre au moins que le mur entre le monde crypto et la finance mainstream commence à s’effriter. Pour l’investisseur lambda ? Cela signifie une voie supplémentaire et réglementée pour emprunter, donc plus de flexibilité pour gérer ses fonds — ce n’est jamais une mauvaise chose.
Mais, en y regardant de plus près, il faut rester prudent.
Leur mécanisme de gestion des risques est-il fiable ? Le modèle économique tiendra-t-il la route ? Difficile à dire, seule l’épreuve du temps peut répondre. Pour nous, investisseurs, la posture la plus sûre reste la suivante : surveiller l’actualité sans se précipiter. On peut suivre le déploiement de leurs produits et les retours des utilisateurs ; une fois les règles du jeu comprises, rien n’empêche de tester à petite échelle, mais il ne faut surtout pas se laisser aveugler par les étiquettes « soutenu par un grand nom » ou « licence bancaire » pour miser gros.
Le marché crypto n’a jamais manqué de cygnes noirs ; garder la tête froide est la seule règle d’or pour survivre.