Les régulateurs de l’UE viennent d’infliger une amende de 120 millions d’euros à une grande plateforme de médias sociaux en raison de ses politiques de modération de contenu. L’amende porte sur des accusations selon lesquelles l’approche de la plateforme en matière de régulation de la parole ne serait pas conforme aux normes européennes de gouvernance numérique.
Cette mesure met en lumière la tension persistante entre les idéaux de communication décentralisée et les cadres réglementaires. Alors que les responsables présentent cette action comme une protection des utilisateurs, les critiques y voient une nouvelle étape vers un contrôle centralisé du discours numérique.
Pour les observateurs du Web3, cela rappelle que les plateformes traditionnelles restent vulnérables à l’intervention gouvernementale. Les alternatives décentralisées paraissent d’autant plus attrayantes lorsque de telles amendes font la une des médias.
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BackrowObserver
· 12-05 22:55
120 millions, ça n'a vraiment aucun intérêt, l'UE aime vraiment s'attaquer aux Big Tech... le web3 va continuer à être réprimé.
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SchroedingerMiner
· 12-05 22:53
L'Union européenne inflige des amendes à tout bout de champ, cette fois elle s'attaque encore à la modération de contenu... Les plateformes traditionnelles sont vraiment trop fragiles, cela me rend encore plus confiant dans les réseaux sociaux on-chain.
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GhostInTheChain
· 12-05 22:47
1,2 milliard d'euros d'amende, l’UE essaie de faire la promo du Web3 en douce ou quoi, haha
Encore ce cirque autour de la liberté d’expression, ils pensent vraiment qu’une amende va faire taire les gens
Les plateformes traditionnelles ressemblent de plus en plus à des distributeurs automatiques, pas étonnant que tout le monde passe sur la blockchain
Au fond, c’est juste le pouvoir qui veut avoir plus de contrôle sur la parole, tout ça sous couvert de "protéger les utilisateurs"
Le Web3 doit profiter de cette vague pour exploser, les plateformes centralisées sont condamnées de toute façon
À force de faire ce genre de trucs, l’UE pousse carrément les utilisateurs vers la décentralisation
Plus ils régulent, plus ça énerve les gens, réveillez-vous un peu, chers politiciens
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EntryPositionAnalyst
· 12-05 22:39
1. Une amende de 120 millions ? L’UE ne plaisante pas, une vraie tactique pour donner l’exemple.
2. Encore une fois, ils prétendent protéger les utilisateurs pour imposer un contrôle centralisé, classique.
3. Les plateformes traditionnelles sont juste des distributeurs automatiques pour les gouvernements, pas étonnant que de plus en plus de gens migrent on-chain.
4. Au fond, c’est juste la peur de perdre le contrôle, le web3 c’est la vraie liberté... non ?
5. €120m c’est rien, mais cette tendance accélère vraiment l’écosystème DeFi.
6. Attends, mais comment cette plateforme se fait-elle auditer, pour se faire coincer comme ça ?
7. Marre de jouer selon leurs règles, la décentralisation aurait déjà dû être la norme.
8. Amende = reconnaissance implicite ? Puisqu’on est tous surveillés, autant s’autogérer.
9. Quand l’UE frappe, c’est fichu, les plateformes n’ont aucune chance.
10. D’ailleurs, existe-t-il vraiment des solutions décentralisées capables de résister à ce genre de pression ?
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GasFeeAssassin
· 12-05 22:38
1,2 milliard d’amende, l’UE fait carrément de la pub pour le Web3 haha
Les régulateurs de l’UE viennent d’infliger une amende de 120 millions d’euros à une grande plateforme de médias sociaux en raison de ses politiques de modération de contenu. L’amende porte sur des accusations selon lesquelles l’approche de la plateforme en matière de régulation de la parole ne serait pas conforme aux normes européennes de gouvernance numérique.
Cette mesure met en lumière la tension persistante entre les idéaux de communication décentralisée et les cadres réglementaires. Alors que les responsables présentent cette action comme une protection des utilisateurs, les critiques y voient une nouvelle étape vers un contrôle centralisé du discours numérique.
Pour les observateurs du Web3, cela rappelle que les plateformes traditionnelles restent vulnérables à l’intervention gouvernementale. Les alternatives décentralisées paraissent d’autant plus attrayantes lorsque de telles amendes font la une des médias.