Wow, l’UE vient d’infliger une amende de 120 M€ à une grande plateforme au titre du Digital Services Act. Leur justification ? Un discours sur la transparence et l’accès élargi aux données pour les chercheurs. Mais la vraie question est la suivante : s’agit-il réellement de responsabilité, ou bien assistons-nous à une instrumentalisation de la conformité par les régulateurs pour contrôler le récit ? Parce que, de mon point de vue, cela ressemble moins à une mesure d’application de la loi qu’à une démonstration de force contre le débat ouvert.
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OfflineNewbie
· 12-06 02:44
Encore ce vieux jeu ? Luttes de pouvoir sous couvert de régulation, c’est du déjà-vu.
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zkNoob
· 12-05 15:49
Une amende de 120 millions d'euros, ça sonne impressionnant, mais au fond, n'est-ce pas juste les régulateurs qui font du théâtre ? Officiellement, on parle de transparence, mais en réalité, c'est juste pour mettre des bâtons dans les roues.
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ChainWallflower
· 12-05 15:48
Eh bien... pour parler franchement, c’est juste une façon de chercher des noises pour infliger des amendes. Ces histoires de droits d’accès aux données, rien qu’à l’entendre, ça paraît absurde.
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TokenomicsDetective
· 12-05 15:39
Une amende de 120 millions d’euros, ça sonne impressionnant, mais si on y pense bien, ce n’est pas juste une forme de censure déguisée ?
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Au fond, ce que veulent les régulateurs, ce n’est pas la transparence, c’est juste contrôler l’espace médiatique.
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Ça recommence, sous prétexte d’"accès aux données", ils étendent encore leur pouvoir, l’UE maîtrise vraiment cette technique.
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Ces gens-là utilisent la conformité comme une arme, je vois clair dans leur jeu.
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Transparence ? Laissez-moi rire, c’est juste un contrôle de la parole, sans fard.
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Les amendes sont de plus en plus élevées, et leur but devient de plus en plus évident.
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Donc maintenant les autorités de régulation veulent aussi jouer au jeu de l’influence ? Pas surprenant.
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BearMarketMonk
· 12-05 15:39
Une amende de 120 millions d'euros, pour dire les choses simplement, c'est juste le pouvoir qui montre ses muscles. Transparence, accès aux données, ça sonne très juste, mais entre l’application et le contrôle, il n’y a souvent qu’un voile.
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Encore une vieille rengaine d’un nouveau cycle : la régulation devient une arme, la responsabilité un prétexte. On l’a déjà vu tant de fois.
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Ce qui est vraiment intéressant, c’est qu’ils essaient encore de paraître bienveillants. Le droit d’accès aux données... pff.
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La nature du pouvoir n’a jamais changé, il a juste enfilé le costume de la « conformité ». Ce coup de l’UE, ce n’est pas la plateforme qu’elle frappe, mais la frontière du pouvoir de parole.
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L’histoire se répète, mes amis, seuls les acteurs ont changé.
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120 millions d’euros pour se forger une image de « régulateur à poigne », l’UE trouve-t-elle vraiment ce marché rentable ?
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Transparence ? Accès aux données ? Ce qui m’intéresse surtout, c’est : qui surveille les surveillants ?
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Au final, c’est toujours la loi de la jungle, simplement habillée de légalité. Réveillez-vous.
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WhaleMistaker
· 12-05 15:32
120 millions d'euros ? Ce gars prend vraiment l'amende à la légère, haha.
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Transparence ? J'ai l'impression que c'est justement l'UE qui est la moins transparente.
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Encore une histoire de régulation "pour ton bien", je n'y crois pas une seconde.
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En clair, ils veulent juste contrôler ce que la plateforme dit. Cette combine, je l'ai déjà vue venir.
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Droit d'accès aux données... Ça sonne bien sur le papier, mais en réalité ?
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C'est toujours pareil : ils parlent d'abord de responsabilité, puis ça tourne au jeu de pouvoir.
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L'UE est vraiment forte à ce jeu : une amende, c'est de l'application de la loi, un audit, c'est de la transparence. Impressionnant.
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L'accès aux données pour les chercheurs devient un prétexte pour une censure déguisée ?
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1,2 milliard juste pour acheter un droit à la parole ? Si c'est rentable, tout dépend de qui fait les comptes.
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Ce que les régulateurs savent faire de mieux, c'est l'emballage : ils ont toujours tout un discours tout prêt.
Wow, l’UE vient d’infliger une amende de 120 M€ à une grande plateforme au titre du Digital Services Act. Leur justification ? Un discours sur la transparence et l’accès élargi aux données pour les chercheurs. Mais la vraie question est la suivante : s’agit-il réellement de responsabilité, ou bien assistons-nous à une instrumentalisation de la conformité par les régulateurs pour contrôler le récit ? Parce que, de mon point de vue, cela ressemble moins à une mesure d’application de la loi qu’à une démonstration de force contre le débat ouvert.