Un célèbre formateur en trading en Inde vient de faire l'objet d'une interdiction réglementaire qui fait des vagues dans le secteur de l'éducation fintech. L'autorité de surveillance des marchés du pays a pris des mesures contre Avadhut Sathe, qui s'était bâti une solide réputation après être passé du trading actif à l'animation de programmes de formation sur les options.
Le problème central ? Les régulateurs affirment que son "contenu éducatif" a franchi la limite pour ressembler davantage à des conseils d'investissement personnalisés. C'est cette zone grise classique : où s'arrête la transmission de stratégies et où commence la recommandation de mouvements spécifiques ?
Sathe s'était taillé une niche en enseignant aux traders particuliers comment naviguer sur les marchés d'options, qui ont explosé en popularité en Inde ces dernières années. Ses programmes ont attiré des milliers d'étudiants désireux d'apprendre le trading de produits dérivés. Mais les autorités ont apparemment vu autre chose dans son contenu : des conseils nécessitant une licence appropriée, et non simplement un certificat d'enseignement.
Cette affaire met en lumière la fine ligne sur laquelle avancent les formateurs en trading partout dans le monde, pas seulement en Inde. Les instances réglementaires mondiales répriment ce qu'elles considèrent comme des services de conseil financier non autorisés déguisés en éducation. La distinction est cruciale sur le plan légal, même si elle paraît floue dans la pratique.
Pour tous ceux qui suivent ce secteur, c'est un rappel que la manière de présenter compte autant que le contenu pour rester du bon côté de la conformité. Ce que vous appelez "éducation" peut ressembler à des "conseils" pour un régulateur qui examine vos supports.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
14 J'aime
Récompense
14
7
Reposter
Partager
Commentaire
0/400
LootboxPhobia
· Il y a 10h
C'est pourquoi on dit que la frontière entre l'éducation au trading et la recommandation est vraiment trop floue... Il n'y a qu'un mot de différence entre enseigner et recommander, et la régulation peut venir te causer des problèmes.
Voir l'originalRépondre0
TestnetNomad
· Il y a 11h
C'est vrai, la frontière entre l'éducation et le conseil est floue... Ce qui est un "partage de stratégie" pour l'un peut être un "conseil en investissement" pour un autre. La régulation peut arriver d'un coup.
Voir l'originalRépondre0
BearMarketSurvivor
· 12-05 05:16
C'est un exemple typique de ligne d'approvisionnement coupée... Le prétexte de l'éducation ne peut pas résister à la force des recommandations concrètes, les régulateurs ont vraiment l'œil aiguisé. Sur ce champ de bataille, le choix des mots est aussi crucial que la gestion des positions : une seule erreur de formulation, et c'est la violation.
Voir l'originalRépondre0
OffchainOracle
· 12-05 05:16
La régulation, c’est comme ça : s’ils veulent t’éduquer, ils t’éduquent, s’ils veulent te donner des conseils, ils te donnent des conseils, tout dépend de leur humeur... Cette manœuvre de l’Inde est vraiment dure.
Voir l'originalRépondre0
NotFinancialAdvice
· 12-05 05:16
C'est exactement ce que je dis depuis toujours : la frontière entre éducation et conseil est vraiment trop floue. Pour les régulateurs, appliquer une règle uniforme est plus simple, mais c'est aussi ce qui fait le plus de dégâts...
Voir l'originalRépondre0
TradingNightmare
· 12-05 05:02
C'est justement la question de la frontière entre l'éducation et le conseil, les régulateurs aiment toujours jouer à ce jeu...
Voir l'originalRépondre0
GasFeeCrier
· 12-05 05:01
C'est pour ça que je dis toujours à quel point la frontière entre éducation et conseil est floue... Les autorités de régulation deviennent vraiment de plus en plus strictes.
Un célèbre formateur en trading en Inde vient de faire l'objet d'une interdiction réglementaire qui fait des vagues dans le secteur de l'éducation fintech. L'autorité de surveillance des marchés du pays a pris des mesures contre Avadhut Sathe, qui s'était bâti une solide réputation après être passé du trading actif à l'animation de programmes de formation sur les options.
Le problème central ? Les régulateurs affirment que son "contenu éducatif" a franchi la limite pour ressembler davantage à des conseils d'investissement personnalisés. C'est cette zone grise classique : où s'arrête la transmission de stratégies et où commence la recommandation de mouvements spécifiques ?
Sathe s'était taillé une niche en enseignant aux traders particuliers comment naviguer sur les marchés d'options, qui ont explosé en popularité en Inde ces dernières années. Ses programmes ont attiré des milliers d'étudiants désireux d'apprendre le trading de produits dérivés. Mais les autorités ont apparemment vu autre chose dans son contenu : des conseils nécessitant une licence appropriée, et non simplement un certificat d'enseignement.
Cette affaire met en lumière la fine ligne sur laquelle avancent les formateurs en trading partout dans le monde, pas seulement en Inde. Les instances réglementaires mondiales répriment ce qu'elles considèrent comme des services de conseil financier non autorisés déguisés en éducation. La distinction est cruciale sur le plan légal, même si elle paraît floue dans la pratique.
Pour tous ceux qui suivent ce secteur, c'est un rappel que la manière de présenter compte autant que le contenu pour rester du bon côté de la conformité. Ce que vous appelez "éducation" peut ressembler à des "conseils" pour un régulateur qui examine vos supports.