Vous vous souvenez quand tout le monde disait que les conversations avec l’IA étaient privées ? Eh bien, les choses viennent de prendre une tournure compliquée. La juge Ona Wang vient de lâcher une bombe : OpenAI a été contraint de remettre 20 millions de journaux de conversations d’utilisateurs au New York Times. Oui, vous avez bien lu. Vingt. Millions.
On parle de tout. Les questions de santé posées à 2h du matin. Ces interrogations financières que vous n’auriez jamais osé dire à voix haute. Les conversations personnelles que vous pensiez rester entre vous et le bot.
Ce jugement ouvre une vraie boîte de Pandore sur la question de la propriété des données à l’ère de l’IA. Qui contrôle vraiment les informations que nous confions à ces systèmes ? Apparemment, ce n’est peut-être pas nous. Ce précédent pourrait bien bouleverser la façon dont les géants de la tech gèrent les données des utilisateurs à l’avenir—ou du moins la façon dont ils prétendent le faire.
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BlockchainFries
· 12-05 10:25
Frère, ça craint maintenant, toutes ces questions embarrassantes que j’ai posées à 2h du matin vont être ressorties ?
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NFTPessimist
· 12-05 05:40
Eh bien, je l'avais dit, rien n'est vraiment privé, tout n'est qu'illusion.
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MetaverseLandlord
· 12-05 05:01
Mort de rire, je savais déjà que ça finirait comme ça, il n’y a vraiment plus de vie privée pour personne.
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GhostWalletSleuth
· 12-05 04:55
Haha, je l'avais bien dit, ces soi-disant "conversations privées" n'ont jamais été que des balivernes.
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WalletDivorcer
· 12-05 04:50
Putain, je me disais que ça servait à rien d'être privé, maintenant c'est grillé.
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ProofOfNothing
· 12-05 04:48
Mort de rire, je savais depuis longtemps que le mot « privé » n’est qu’une blague pour les entreprises technologiques.
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OPsychology
· 12-05 04:47
20 millions de conversations... Mon pote, on aurait dû savoir depuis longtemps qu'il n'y a pas de déjeuner gratuit dans ce monde, et que la vie privée, c'est encore plus précieux.
Vous vous souvenez quand tout le monde disait que les conversations avec l’IA étaient privées ? Eh bien, les choses viennent de prendre une tournure compliquée. La juge Ona Wang vient de lâcher une bombe : OpenAI a été contraint de remettre 20 millions de journaux de conversations d’utilisateurs au New York Times. Oui, vous avez bien lu. Vingt. Millions.
On parle de tout. Les questions de santé posées à 2h du matin. Ces interrogations financières que vous n’auriez jamais osé dire à voix haute. Les conversations personnelles que vous pensiez rester entre vous et le bot.
Ce jugement ouvre une vraie boîte de Pandore sur la question de la propriété des données à l’ère de l’IA. Qui contrôle vraiment les informations que nous confions à ces systèmes ? Apparemment, ce n’est peut-être pas nous. Ce précédent pourrait bien bouleverser la façon dont les géants de la tech gèrent les données des utilisateurs à l’avenir—ou du moins la façon dont ils prétendent le faire.